Les temps forts de l’Alzy Trio

 Premier cri (2002). Naissance de l’Alzy Trio le mercredi 1er mai.

Premier CD (2007). Seize cordes en bal(l)ades.

Enregistrement de Saravah (2009). La célèbre chanson de Pierre Barouh, interprétée avec son auteur himself, ainsi qu’avec la chanteuse Sheyla Costa et le pianiste Jean-Pierre Mas, dans une émission de télévision de Jean-François Lebossé.

Premiers concerts ultramarins (2009). Tanjazz, le festival international de jazz de Tanger (Maroc), accueillait également Janice deRosa, Mandrill, Ray Gelato & The Giants, le trio de Louis Martinez et bien d’autres musiciens. Extrait de la présentation et du compte-rendu de Et-Tayeb Houdaïfa, responsable du service culture de l’hebdomadaire marocain La Vie Eco  : «  La programmation fut un argument massue de ce Tanjazz, dixième du nom. Tant par le prestige des artistes invités que par les principes qui la sous-tendent. Entre autres, celui de montrer que le jazz, genre non exclusiviste, se marie, sans dissonance à d’autres musiques. C’est ainsi que Tanjazz nous a proposé du jazz arrosé de gospel (Shakura S’Aïda), mêlé de funky-reggae (Nnenna Freelon), saupoudré d’afro-pop, mêlé de funk et de soul (The KMG’s), inondé de samba (Jazzpirine), accommodé à la sauce manouche (Tzwing), dosé de flamenco (Alzy Trio), dopé au rock (Gros Tube). Autant de mélanges, tantôt délicats, tantôt explosifs, souvent hardis, qui menaient par le bout du cœur des auditeurs, au point de leur faire exécuter une danse sur une piste improvisée, jusqu’à ce que le sol se mit à vibrer en un imperceptible tangage. Il y avait de la joie, de sublimes voix et des tempêtes de rires, grâce à des artistes qui savaient conjuguer leur talent avec le show. »

Alzy Trio (avec Jean-Pierre Jackson à la batterie). Tanger. Novembre 2009.

Alzy Trio (avec Jean-Pierre Jackson à la batterie). Tanger. Novembre 2009.

Festival Tanja Latina (2009). À Tanger, avec Cumbia Chicharra, Diabloson, Ska Cubano, Zângão et Viva Brazil. Invité spécial du trio : le batteur Jean-Pierre Jackson, également écrivain mais aussi acteur, compositeur, réalisateur et scénariste de cinéma, qui a joué, entre autres, avec Guy Lafitte et Michel Petrucciani. Invités impromptus de nos jam sessions : Kico Cowan à la flûte et le trompettiste Jay Phelps qui a notamment accompagné… Amy Winehouse !

A French songbook (2011). Parution du deuxième CD de l’Alzy Trio.

France Bleu (2011). Enregistrement et diffusion d’un concert en direct dans une émission radio de Manuel Houssais, depuis le Café des Arts, avec Christel Leca au chant. Un beau moment à réécouter en cliquant ici.

Radio France Internationale (2012). Enregistrement au studio 136 de la Maison de la Radio, à Paris, en session acoustique avec Elsy Fleriag au chant, pour l’émission La bande passante d’Alain Pilot et Nicolas Spiga. Concert à réécouter en cliquant ici.

J’ai dix ans ! À la veille du premier tour de l’élection présidentielle française, le samedi 21 avril 2012 (pile-poil !), nous avons fêté, avec panache, les dix ans du trio, avec un concert-casse-croûte d’exception organisé au Musée dauphinois, sur les hauteurs de Grenoble et près d’une vingtaine de musiciens amis sur scène !

• France 3 (2012). Enregistrement vidéo de deux thèmes en studio pour l’émission 13 h avec vous, avec nos versions de la Chanson des jumelles et de La Javanaise.

Alzy-Trio-Opera-de-LyonFestival du Péristyle à l’Opéra de Lyon (2016). Depuis 2003, le plus long festival de jazz du monde (d’une durée de trois mois, entre juin et septembre !) est organisé par François Postaire dans le cadre prestigieux de l’Opéra de Lyon. Ambiance cosy d’un café-jazz en terrasse à l’ombre des arcades entre les monumentales colonnes du magnifique bâtiment patrimonial restructuré en 1993 par l’architecte Jean Nouvel. Deux concerts exceptionnels, distribués en trois sets, dont l’un avec notre ami guitariste Dominique Sanfourche en invité spécial, qui apporte sa touche blues à notre répertoire jazz. Cet événement incontournable de la scène jazz lyonnaise des beaux jours affichait également d’autres excellentes formations comme le trio, toujours très lyrique, du pianiste Éric Teruel, celui de ce crooner de Matthieu Boré, le Bossa Years quartet (avec l’excellent guitariste Michel Perez et Priscilia Valdazo, une rare contrebassiste chanteuse…) ou encore le quartet de la jeune saxophoniste allemande Nora Kamm.

Premiers concerts à Paris (mai 2017). Et pour cette grande première, l’Alzy Trio ne fait pas dans la demi-mesure en jouant deux soirs de suite dans le cadre de la manifestation Jardin, Jardins qui se tient au… jardin des Tuileries !

• On n’a pas tous les jours vingt ans ! Vous en connaissez beaucoup, vous, des groupes où les mêmes musiciens jouent ensemble depuis si longtemps ! À part, bien sûr, Genesis, King Crimson, Magma, Pink Floyd, Santana, Scorpions, The Beach Boys, The Manhattan Transfer, The Rolling Stones, The Swingle Singers et quelques rares autres ;-) Le 30 avril 2022, jour de l’International Jazz Day placé sous la houlette de Herbie Hancock par l’Unesco, et veille de la date anniversaire de la première rencontre entre Pascal Kober, Thierry Rampillon et Christian Sanchez (un 1er mai qui a suivi un certain 21 avril…), nous avons festoyé autour d’un casse-croûte gourmand (et néanmoins musical) dans la chapelle baroque et les jardins du Musée dauphinois, sur les hauteurs de Grenoble.

 

A French songbook (2016 edition)

Alzy Trio (A French songbook). 2016 editionC’est en clin d’œil taquin que nous avons voulu un titre en langue anglaise pour ce deuxième album très frenchy de l’Alzy Trio. Clin d’oeil au fameux Great American Songbook qui fait la part belle aux standards de Broadway, signés Ellington ou Gershwin, et joués par tous les jazz(wo)men. Car (ne vous déplaise ;-) le grand répertoire de la chanson française a, lui aussi, conquis l’âme des musiciens du monde entier.

Écoutez les extraits des thèmes en cliquant sur les titres  :

Chanson de Maxence (You must believe in spring)

Compositeur : Michel Legrand
Auteur : Jacques Demy
3’ 34’’ • 1967
Pascal Kober : basse
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare

Cécile, ma fille

Compositeur : Jacques Datin
Auteur : Claude Nougaro
4’ 03’’ • 1963
Pascal Kober : basse (solo)
Thierry Rampillon : guitare
Christian Sanchez : guitare (solo)
Invitent Jean-Pierre Jackson : batterie

Les pas

Compositeurs : Claude Nougaro, Loïc Pontieux, Laurent Vernerey, Jean-Marie Ecay, Arnaud Dunoyer de Segonzac et Denis Benarrosh
Auteur : Claude Nougaro
3’ 03’’ • 1997
Pascal Kober : basse
Christian Sanchez : guitare
Invitent Elsy Fleriag : chant (solo)

Un été (Estate)

Compositeur : Bruno Martino
Auteur : Claude Nougaro
5’ 31’’ • 1960 et 1981
Pascal Kober : basse (solo)
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare
Invitent Jean-Pierre Jackson : batterie

La javanaise

Auteur-compositeur : Serge Gainsbourg
3’ 05’’ • 1962
Pascal Kober : basse, chant
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare
Invitent Tamanga Bévis : chant

Chanson des jumelles

Compositeur : Michel Legrand
Auteur : Jacques Demy
2’ 50’’ • 1967
Pascal Kober : basse
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare

Que reste-t-il de nos amours (I wish you love)

Compositeurs : Léon Chauliac, Charles Trenet
Auteur : Charles Trenet
3’ 38’’ • 1942
Pascal Kober : basse
Thierry Rampillon : guitare
Invitent Tamanga Bévis : chant

Les feuilles mortes (Autumn leaves)

Compositeur : Joseph Kosma
Auteur : Jacques Prévert
2’ 51’’ • 1946
Pascal Kober : basse (solo)
Thierry Rampillon : guitare
Christian Sanchez : guitare
Invitent Jean-Pierre Jackson : batterie

Rimes (Il camino)

Compositeur : Aldo Romano
Auteur : Claude Nougaro
2’ 48’’ • 1979 et 1981
Pascal Kober : basse
Christian Sanchez : guitare
Invitent Tamanga Bévis : chant

Tu verras (O que será a flor de terra)

Compositeur : Chico Buarque de Hollanda
Auteur : Claude Nougaro
3’ 21’’ • 1976 et 1978
Pascal Kober : basse
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare
Invitent Elsy Fleriag : chant

Billie Jean

Auteur-compositeur : Michael Jackson
3’ 25’’ • 1982
Pascal Kober : basse
Thierry Rampillon : guitare (solo)
Christian Sanchez : guitare
Invitent Jean-Pierre Jackson : batterie

Pascal Kober joue sur basse acoustique fretless Fender BG-29 (amplis Hartke KickBack 12 et Phil Jones Bass Cub BG-100), sauf sur Les pas (basse frettée custom). Thierry Rampillon joue sur guitares acoustiques Godin Multiac ACS-SA et Godin 5th Avenue CW Kingpin II (ampli AER Compact 60). Christian Sanchez joue sur guitare acoustique Godin Multiac Nylon Duet (ampli AER Compact 60). Le tout sans aucun effet spécial.

Enregistrement, mixage et mastering mitonnés par Gil Lachenal au studio Swim Again. Direction artistique graphique : Michka Piera. Traductions anglaises : Cary Bartsch.

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Pour commander les CD de l’Alzy Trio (avec le livret de 16 pages pour A French songbook), merci d’envoyer 10 € par disque (frais de port offerts) à  :

Association Jazz en ballade
Christian Sanchez
7, rue d’Aquitaine
38130 Échirolles
France
+ 33 (0) 624 33 33 70

La musique de l’Alzy Trio peut également être téléchargée en format mp3 sur les principales plates-formes de commerce en ligne  :
Amazon
Fnac
iTunes, etc.
… mais franchement, ce serait dommage de se priver de la qualité audio du CD, d’une si belle pochette et d’un aussi joli livret (sans compter nos superbes enveloppes rouges ;-)

A French songbook (le livret)

Alzy Trio (A French songbook). 2016 edition« Comme ce type doit m’aimer puisqu’il m’a inventée ! » s’exclamait Catherine Deneuve, l’une des demoiselles de Rochefort, dans le film de Jacques Demy, en découvrant son portrait, peint par le jeune matelot Maxence sans que ce dernier ne l’ait même entr’aperçue. Pas un club de jazz au monde où vous ne puissiez écouter la célèbre Chanson de Maxence. Qui vous sera toutefois probablement présentée dans sa version anglo-saxonne, You must believe in spring, enregistrée notamment par Bill Evans. Mais qui donc a inventé cette ritournelle si joliment troussée ? Michel Legrand, bien sûr. Idem pour la Chanson des jumelles dont le nouvel arrangement, percutant, que le pianiste a cosigné avec Essaï, a nourri notre regard sur ce thème. Ils sont ainsi très nombreux, ces morceaux de patrimoine de la chanson française à avoir franchi nos frontières. Les feuilles mortes, par exemple, dont ni Kosma ni Prévert n’auraient imaginé que, de Venise à Java, elles allaient se retrouver sur toutes les lèvres, de tous les bœufs, de toutes les jam sessions de la planète jazz sous le titre Autumn Leaves. Ou encore Que reste-t-il de nos amours ? À cette question de Charles Trenet, les musiciens de jazz, partout, répondent I wish you love

« Comme ce papa doit m’aimer », a dû aussi s’exclamer la petite Cécile en écoutant son Nougaro de père. La mélodie de cette jolie ballade, ici ponctuée par les balais de Jean-Pierre Jackson, notre batteur invité, est dans tous les cœurs. Au diapason de cette bossa-nova chaloupée par ses Pas à laquelle le chant d’Elsy Fleriag donne cette chaude couleur créole qui embarque notre musique vers sa Martinique et le Brésil de Claude. Et que dire de Rimes, écrite par Aldo Romano sur un singulier rythme à cinq temps qui ne doit rien à Paul Desmond ou à Dave Brubeck et auquel nos oreilles occidentales sont si peu habituées ?

C’est donc en clin d’œil taquin que nous avons voulu un titre en langue anglaise pour cet album très frenchy de l’Alzy Trio. Clin d’œil au fameux Great American Songbook qui fait la part belle aux standards de Broadway, signés Ellington ou Gershwin, et joués par tous les jazz(wo)men. Car (ne vous déplaise ;-) le grand répertoire de la chanson française a, lui aussi, conquis l’âme des musiciens du monde entier.

Un été joue ici les trublions puisqu’il s’agit d’un thème (Estate) composé par le pianiste italien Bruno Martino et sur lequel Claude Nougaro, toujours lui, nous a conté une douce historiette d’enfants. Il espérait tant que « jazz et java copains, ça doit pouvoir se faire »… Nougaro et Gainsbourg n’ont hélas jamais enregistré ensemble mais nul doute que La javanaise de Serge aurait pu les réunir pour « donner à la java mes mains pour le bas de son dos ». Ce duo chanté avec notre autre invitée, Tamanga Bévis, ponctué par le chorus de guitare de Thierry sur les belles harmonies de Christian ? Un petit bonheur qui doit aussi au talent d’arrangeur de la chanteuse québécoise Térez Montcalm et du guitariste Yann Viet dont nous nous sommes un tantinet inspirés. Tu verras, enfin, mélodie écrite par le compositeur brésilien Chico Buarque (O que será), clôt cet opus avec une belle promesse d’ailleurs : « En t’inventant l’amour dans le coeur de mes bras, jusqu’au matin du monde ».

Mais ça, c’est une autre histoire…

Pascal Kober

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Revue de presse et témoignages

Alzy Trio (A French songbook). 2016 editionJóse Luis Ajzenmesser, journaliste radio à l’émission La Guagua, à Buenos Aires (Argentine) : «  Votre CD est merveilleux. Le choix des thèmes et le concept sont excellents. Et votre idée de la curiosité comme une forme brute de la créativité est très intéressante… Merci pour la musique ! »

Jacques Baillieux, directeur de la rédaction, magazine Beaux Quartiers : « A French Songbook est un vrai bonheur, une oasis de fraîcheur musicale, surfant sur la nostalgie, un instant de légèreté… Bref, un excellent disque à s’offrir pour oublier la grisaille du temps. »

Jean-Efflam Bavouzet, pianiste, concertiste classique, Paris : « Par la douce subtlilité de leurs harmonies, je chéris les plus belles bossas-novas au même titre que certaines mazurkas de Chopin. Comme sous un effet réflexe, cette musique me transporte immédiatement entre la contemplation un peu béate, une certaine tristesse et le bonheur pur. La magnifique musique de Chico Buarque, les paroles inspirées de Tu verras et l’excellent arrangement de l’Alzy Trio me procurent tous ces états d’âme et me font aussi, plus simplement, chaud au coeur. »

Michel Bedin, site Internet on-mag.fr : «  L’Alzy Trio (deux guitares, une basse fretless) a de l’humour. Outre le fait d’appeler leur CD A French Songbook en référence à l’American Songbook des Etazuniens, ils terminent, ces trois gratteux, de façon vraiment frivole et décontractée. Au répertoire, effectivement, des airs français, encore que… Estate, francisée par Nougaro, est quand même une chanson italienne et Billie Jean de Michael Jackson a encore besoin d’une carte de séjour et, par les temps qui courent, ce n’est pas gagné d’avance. Attendons 2012. Bon, on s’en fiche, le principal est que ce soit sympathique, que ça souingue et que ça bossanovise. Ce qui est le cas. De bons arrangements, des invités, les chanteuses Tamanga Bévis ou Elsy Fleriag, qui n’en font pas des kilos mais qui servent bien la musique, un batteur, Jean-Pierre Jackson, qui reste discret mais efficace. Les guitaristes, Thierry Rampillon et Christian Sanchez, sont précis et sensibles. Quant au bassiste, Pascal Kober, il pousse bien ses collègues en avant. Soit dit entre nous, il devrait chanter plus souvent. Sa voix, en contrechant décalé, est très virile et plaira aux dames. Bref, un CD qui n’a pas la prétention de se prendre pour Kind of Blue, mais qui a le mérite d’être sincère, modeste et plaisant. Et qui respire l’amitié et la tendresse. »

Pierre Bigorgne, rédacteur en chef, magazine Grands Reportages : « Omni (objet musical non identifié) dans ce French songbook, l’arrangement du cultissime Billie Jean démontre, une fois encore, que les règles sont faites pour être détournées. Que serait la liberté s’il en était autrement  ? Où serait la création s’il n’y avait pas d’affranchis  ? Que deviendrait l’épicurien Alzy Trio s’il ne s’émancipait pas de son genre d’origine, la bossa nova, pour mieux nous séduire et nous surprendre  ? Il n’y a rien de plus jazz que cette reprise «  alzyenne  » d’un tube écrit par le roi de la pop. Rien de plus jouissif que cette hypnotique ligne de basse sur laquelle les guitares d’Alzy imaginent toutes les variations et tous les assauts. Que reste t-il de nos amours  ? interroge l’une des plus belles chansons de cet album. Billie Jean, bien sûr  ! »

Marianne Boilève, journaliste, auteur : « La voix humaine de la basse sort Les feuilles mortes de la nuit froide de l’oubli, du souvenir figé sous lequel nous les avions enfouies. On se prend à rêver de marrons chauds au mois de mai, de coin du feu en plein été,  la mémoire divague, vague, vague… Et soudain la vague nostalgie est chahutée, balayée par une vague bien plus forte qu’elle, par un échange joyeux, pétillant  : tu vois, les jours heureux ne sont pas morts, pas plus que les feuilles, il suffit de les voir pousser dans l’aujourd’hui. »

Daniel Bonin, site Internet musicali : « Le trio revisite avec minutie et maestria les standards de la chanson francaise. »

Jean-Paul Boutellier, festival Jazz à Vienne  : « Que reste-t-il de nos amours ? évoque pour moi la différence entre mélancolie et nostalgie. C’est bien sûr le second qualificatif qui est le mieux adapté à ce titre qui aborde un temps passé et heureux, et dont le souvenir reste un moment de joie. Ces «  baisers volés  » demeurent ces petits secrets évaporés, qui ont inspiré François Truffaut. »

Michèle Caron, animatrice radio, France Bleu  : « On redécouvre avec bonheur les paroles de Tu verras, servies par une voix féminine à la fois envoûtante, suave et dynamique sur une musique colorée. Un hymne à l’amour qui donne envie de replonger dans le répertoire de ce bouleversant jongleur de mots au rythme dans la peau qu’est Claude Nougaro. On ne reste pas indemne. »

Henry-Michel Chaléon : « C’est un chouette moment que j’ai passé hier soir… Quatre écoutes… Ce CD est audacieux et chaleureux  ! Bravo ! »

Sheyla Costa, chanteuse et musicienne, Paris : «  Je suis en train d’écouter cet «  agréabilissime  » CD et j’aime vraiment ce coté élégant et léger. Notamment Un été qui me fait penser à mon pays natal, le Brésil. Les harmonies douces et le swing bossa nova mélangé au jazz sont plaisants. Il y a là une bonne vibration et de l’énergie. Belle reprise de Nougaro. »

Francis B. Cousté, revue L’Éducation musicale : «  Fort sympathiquement swinguant est cet album, réunissant – jazz & bossa-nova – un trio de guitares acoustiques et quelques talentueux invités. Superbes chansons françaises. »

François-Xavier Cuende, site Internet Dans le sillage de Corto  : «  J’aime écouter du jazz en trio et découvrir des rencontres de musiques. L’Alzy Trio, qui fait se rencontrer le jazz et la bossa nova, avait donc de quoi attirer mon attention et régaler mes oreilles. Des cordes uniquement (une basse et deux guitares) revisitent les standards de Tom Jobim et Vinícius de Moraes ou de Miles Davis. Mention spéciale à leur adaptation de Birdland, la composition de Joe Zawinul rendue célèbre par le groupe Weather Report. »

Bernard David-Cavaz, graphiste, réalisateur, chanteur et musicien : «  Les trois bonshommes qui swinguent. Fulgurances exaltées de la gratte de Christian (c’est tonique comme un lever de soleil sur la baie…), rondeurs matoises de la basse de Pascal (c’est fluide et chaleureux comme du métal en fusion…), cristalines envolées des chorus de Thierry (c’est frais et gracieux comme un ru de montagne…). Trente doigts stakhanovistes, lutins surexcités, tricotent sans s’essouffler seize cordes enchantées pendant qu’au-dessus, trois bouilles réjouies semblent assister à leurs efforts, couvant d’un regard attentif et émerveillé la musicale progéniture. Les standards de la musique ont ceci de commun avec les grands vins, qu’ils ont toujours besoin de la gourmandise de ceux qui les aiment pour révéler l’infinie générosité de leurs saveurs cachées. À n’en pas douter, les trois bonshommes à la gouleyante bonhomie sont d’incorrigibles gourmands. Miam, miam, miam. »

Mélanie de Biasio, chanteuse et musicienne, Bruxelles (Belgique) : « De votre CD émane beaucoup de douceur. »

Sophie Delavoie : «  Atmosphère. Bravo. Charme. Délicieux… Merci… »

Michel Delorme : « Disque très agréable, voire plus en certains cas. J’aime beaucoup La chanson de Maxence et le texte de Gérard Rouy, qui aime si bien Coltrane mais que l’on ne voit plus nulle part, La chanson des jumelles, la belle interprétation de Tamanga sur Que reste-t-il de nos amours ? et, œuf corse, Estate et Il camino. Et que dire de Cécile, ma fille, qui est en gestation dans une mazurka de l’opus 17 de ce bon Frédéric Chopin ? »

Pascal Derathé, rédacteur en chef du site Internet jazz-rhone-alpes.com : «  Nous avons eu la chance de pouvoir découvrir A French songbook en avant-première et nous nous sommes régalés. Une reprise de Billie Jean comme on ne l’avait jamais entendu. Une entame des Feuilles mortes à la basse d’une rare intensité. Des chansons populaires françaises bien traitées. Un disque agréable à écouter qui nous fait penser à Douce France de Louis Winsberg.  »

Pascal Derathé, rédacteur en chef du site Internet jazz-rhone-alpes.com  : « Ce trio d’amateurs éclairés était invité par l’Art’Pêche de Romans pour sa seconde soirée jazz. Le premier set fut plutôt brésilien avec des bossa issues du premier album de l’Alzy Trio. Un dernier détour par le Birdland de Weather Report avant d’attaquer au second set le nouvel opus du trio, le French songbook. Les arrangements sont «  maison  », spécialement écrits pour cette formation à deux guitares et une basse acoustique. Oubliés les fûts et le piano, on se débrouille avec seize cordes. Le French songbook reprend des tubes de la chanson française comme Cécile, ma fille, de Nougaro ou encore Un été (Estate). Les arrangements sont bien ciselés, le trio est parfaitement en place et dégage un son très homogène. Pascal Kober nous livre quelques chorus de basse acoustique comme on en entend trop peu. De jolis morceaux qui nous font voyager comme ce thème d’Aldo Romano Il camino et ces Autumn leaves servies en deux fois. Quelques surprises avec la Chanson des jumelles qui vire rock’n’roll ou la reprise de Billie Jean qui achèvera le concert. La version concert de l’Alzy trio tient toutes les promesses du disque et le public romanais a été conquis.  »

Lorraine Desmarais, pianiste, compositrice, Montréal (Québec, Canada) : «  Il y a de bien belles choses sur les petites notes bleues du trio ! Ça s’écoute bien, il y a du soleil et de la joie de vivre dans ce choix de répertoire. Bravo… J’aime beaucoup la Chanson de Maxence, la Chanson des jumelles, Les pas (belle voix d’Elsy Fleriag)… C’est un beau concept, ce French songbook ! J’ai écouté le disque avec bonheur. Il y a une belle énergie, le choix des pièces est judicieux et les morceaux bien arrangés. J’aime les voix qui apportent un souffle sympathique et on peut apprécier la façon différente des musiciens de les accompagner. Très beau disque. »

Grégoire Feyt : «  Que des chansons que j’aime ! Et joliment arrangées… Ça fait du bien de savoir qu’on n’est pas le seul toquard à s’émouvoir sur la Chanson de Maxence. »

Marie-Hélène Fraïssé, journaliste radio, France Culture  : « En ce temps-là le petit taureau débutait dans l’arène. Noir, têtu et…tendre, ainsi qu’en témoignaient les paroles de cette chanson d’un mec-à-qui-on-ne-la-fait-pas, fondu d’amour pour une petite fille. La sienne. Depuis, Claude n’a cessé de nous accompagner. Le blues, le jazz, la poésie, couraient dans ses veines. Il était  comme un grand frère insoumis et protecteur. Je ne passe jamais devant sa maison (de briques… roses !) avenue Junot, sans un pincement. Merci à l’Alzy Trio de remettre nos pas dans ses traces éblouissantes avec cette version de Cécile, ma fille. »

Roberta Gambarini, chanteuse, New York (États-Unis d’Amérique)  : «  J’ai pu écouter une partie de votre concert à Tanger. L’ensemble sonne vraiment bien et Elsy, la chanteuse, est excellente.  »

Benjamin Goldenstein, directeur artistique, Frémeaux & Associés, Paris (à propos de Que reste-t-il de nos amours ?) : « Ne restent-t-il de nos amours que les chants désespérés (les plus beaux pour d’aucuns)  ? Ou plutôt la rédemption par le biais de la poésie qui, alliée aux mélodies mettant le cœur à nu, fait surgir des ruines le germe de ce qui restera, pour des générations entières d’amoureux et d’amants de la musique, le diapason des émotions  ? »

Christelle Gonzalo, revue Jazz Hot (sélection nouveauté) : «  Après un premier disque, Seize cordes en bal(l)ades, qui proposait en 2007 des variations acoustiques sur des thèmes célèbres, l’Alzy Trio a choisi cette fois de teinter de jazz et de bossa-nova de grands titres de la chanson française. L’exercice consistant à extraire une dizaine de titres qui, une fois arrangés, composeraient un French songbook, est périlleux. Que choisir ? Puisque l’Alzy Trio verse dans le jazz et la bossa, c’est naturellement du côté de Claude Nougaro que les compères sont allés puiser une bonne part de leur distribution (…). Au final, une très agréable plongée dans un répertoire français. »

Chantal Hardy, journaliste, site Internet jazz-rhone-alpes.com : «  Cette petite salle au fond du restaurant La Frise n’ouvre le soir que pour les amis. Murs paille et orangés garnis des œuvres d’Eugénie Fauny dont le vernissage a précédé la soirée, parquet ancien et le public qui se serre pour écouter l’Alzy Trio. Une première partie instrumentale nous régale de mélodies empreintes de poésie, ancrées dans notre mémoire. Elles nous accompagnent sans tristesse : la Chanson de Maxence, Cécile, ma fille, Un été, la Chanson des jumelles, Les feuilles mortes… Le swing de la bossa-nova et du jazz, le souffle des vents du sud, les berceuses de notre enfance… Dans la seconde partie, la voix nette, harmonieuse, langoureuse de Tamanga Bévis, ses grands sourires, accompagnent le son doux des guitares. Que reste-t-il de nos amours ? Ca balance, ça tangue… Puis La javanaise, mélodie pleine de tendresse. Les paupières accompagnent l’émotion, la voix tient la note… Sur des musiques latino-américaines, Besame mucho bien sûr, sa voix devient plus puissante, profonde sur des rythmes tout en finesse… Une silhouette mince, gracieuse en robe vert pâle sur une peau brune auréolée d’une coiffe noire scintillante accompagne une voix exceptionnelle d’émotion ! Un petit bijou ! Pas étonnant que le rappel du public envouté soit Isn’t she lovely ? »

Manuel Houssais, animateur radio, France Bleu  : «  L’Alzy Trio (deux guitares et une basse acoustique) propose un moment ’’acousticoolissime’’, un moment de détente et de bonheur musical. Ils font revivre une sélection des plus beaux titres du répertoire français avec des arrangements dont ils ont le savoir. »

Robert Latxague, journaliste, Jazz Magazine  : « Tout tourne autour de la mélodie, simple, évidente donc savoureuse de Cécile, ma fille. Une émotion à fleur de peau, un feeling bien senti, les sentiers d’un voyage intérieur, une envie et un moment de vie  : les mots de Nougaro exhalent les autres essences de ce parfum d’une fille-femme en bourgeon. Ses phrases, ses notes ont résonné bien sûr en écho de mes propres désirs bien au-delà des rimes et de toute raison. Sans doute parce que ce Nougaro-ci, ce Nougaro-là, jeune encore, illustrait à mes yeux et mes oreilles accouplées, un fils du sud, un enfant de la balle ovale, un enfant du jazz, de la java et de l’opéra. »

Robert Latxague, journaliste, Jazz Magazine  : « Ce trio-là est né d’une envie de copains d’abord au sens épicurien tant vanté par Brassens. D’ailleurs, c’est bien de guitares qu’il s’agit et d’airs joués à cordes déployées. Elles ont envahi d’abord le terrain de jeu naturel, ledit «  Y grenoblois  » entre Chartreuse, Vercors et Belledonne, autant de massifs porteurs d’espace voués au jazz et à l’impro. Aujourd’hui pour ces amateurs éclairés, l’espace porte leurs rencontres scéniques bien au-delà, et jusque outre-Méditerranée. Reste que ce disque porte des choses choisies, avec ou sans voix, mais qui ne manquent pas d’air. Ni de souffle. Les trois musiciens ont fait le choix d’illustrer des thèmes-cultes. Donc de rebattre les cartes pour des enjeux de notes et de mots relevés. Qu’importe de connaître un résultat final à l’avance. Bossa nova, chansons à texte, esprit de jazz et sonorité acoustique garantie : cette distribution de cartes-maitresses laisse aux figures dévoilées tout au long de la partie, sinon une part de mystère du moins une bonne tranche de plaisirs répétés. »

Philippe Lorin, festival international de jazz de Tanger (Maroc) : «  Tanjazz a véritablement été un succès et vous avez été un élément de ce succès. Votre French songbook est élégant, joli. Mais il manque de percussion, car s’il est French, il est tout de même bien coloré Brazil. »

Colette Mainguy, journaliste, Le Nouvel Observateur : « Un groupe magique Merci pour ces beaux arrangements si inspirés ! »

Jean-Christophe Martin, journaliste radio, France Info : « Ça fait un bail que Les feuilles mortes n’en finissent pas de tomber, de virevolter, mourir et ressusciter, feuilles mortes, déjà vertes… Du blues au bleu, féconde tristesse de l’automne, et déjà le sacre du printemps et la joie toujours intacte de la musique. Une feuille qui tombe, quelques notes de musique, tout un monde qui surgit, chaque fois le même, jamais le même… Cette fois, c’est avec l’Alzy trio, et c’est tant mieux… »

Louis Martinez, guitariste, directeur artistique du festival Jazz à Sète  : «  Très joli son de basse, mais attention à ne pas abuser des glissandos. La formule trio est agréable et le répertoire bien adapté. Il y a toutefois deux ou trois thèmes difficiles à faire sonner avec ce type d’instrumentation. Mais l’ensemble est très honnête. Elsy Fleriag a une voix bien posée et très agréable. Le CD est bien enregistré et l’apport des invités est bien vu. »

Tina May, chanteuse, Royaume-Uni : «  It sound wonderful ! »

Sandrine Mercier, journaliste radio, France Inter : « Le souffle des alizés a porté les sœurs jumelles de Rochefort jusqu’en Amérique du Sud. Comment s’appelaient-elles d’ailleurs  ? J’ai oublié leur nom mais pas la ritournelle si pétulante et entêtante signée Michel Legrand. Comme elles étaient frivoles, mutines et casse-pieds  ! Pour les interpréter, Jacques Demy avaient choisi deux frangines  : Françoise Dorléac et Catherine Deneuve. La première avait tourné au Brésil avec Belmondo dans L’homme de Rio et la seconde ira sur une île du Venezuela avec Yves Montand dans Le sauvage. Et toujours frivoles, mutines et casse-pieds  ! À croire que ces Demoiselles de Rochefort avaient, en Charente-Maritime, pris rendez-vous avec les rythmes sud-américains chers à l’Alzy Trio. »

Theo Pas’cal, bassiste, directeur musical, Portugal et Royaume-Uni : «  Uau, I saw your live video and it sounds great the acoustic fretless. Great sound and awesome vocal timber… Great trio like the peace it brings on it. »

Hélène Piguet : «  C’est très pro et très frais, avec des petits côtés où les musiciens se lâchent, type «  blufunk  » de Keziah Jones, et ce n’est pas pour me déplaire. Coup de cœur pour les versions de Cécile, ma fille, de La javanaise et de Billie Jean.  »

Luc Plouton, musicien : «  Merci pour cette musique pleine de poésie et de feeling. »

Gérard Rouy, journaliste : «  De la belle ouvrage… J’ai une attirance particulière pour les musiques de Michel Legrand, présent à deux reprises dans ce French songbook, qui est le seul avec Joseph Kosma, Charles Trenet et quelques autres, à avoir enrichi de manière indélébile le répertoire international des standards et autres evergreens dans lequel puisent depuis toujours les jazzmen épris de mélodies. »

Kenzo Saeki, musicien, Japon : «  Pretty good ! Very pleasure to here that. I hope we do gigs together.  »

Thomas Sibille : « Merci pour ce bel accompagnement, pour le plaisir de nos oreilles et du cœur qui palpite juste en dessous… »

Olivier Soubeyrand : « La pochette est superbe et je suis fan du contenu : c’est propre et c’est beau. Cet album a un côté «  Frères Jacques  » : la poésie est là mais avec un gros travail derrière… »

Carmen Souza, chanteuse, Cap Vert, Portugal et Royaume-Uni : «  Wish you all the best for you and your music as well it sounds very good… »

Hélène Sportis : «  J’ai été impressionnée par la proximité des musiques qui ont bercé nos jeunesses, la qualité des arrangements et l’expression musicale du groupe.  »

Yves Sportis, rédacteur en chef, revue Jazz Hot : « Tous ces thèmes ont bercé ma vie, depuis ma naissance pour certains. Mais je dois mon prénom à Yves Montand, «  l’invité  » permanent de la maison. J’ai donc une petite tendresse pour Les Feuilles mortes, la chanson de mes parents, dont la nostalgie m’a imprégné depuis toujours comme un filtre de fidélité, à des ami(e)s, à des idées. Comme aussi une promesse de tristesse de la perte de l’un d’eux. Alors, bonjour tristesse… »

Marianne Taillibert : « On écoute, presque en boucle, votre CD… Merci pour la joie de vivre qui s’en dégage  ! »

René Troin, site Internet Crapauds & Rossignols : « Le ciment des membres d’Alzy Trio, c’est «  le bonheur simple de jouer ensemble  ». Un bonheur qui peut se révéler contagieux. A les écouter, on en vient à penser à ce roman de Christian Gailly : Un soir au club. S’il vous vient des envies de prendre un verre dans une boîte de jazz sans sortir de chez vous, voilà le disque de la situation. »

Vladimir Vasak, journaliste télé, Arte reportage : «  Vraiment très agréable. Si l’idée de reprendre ces classiques de la chanson française est bien connue, le résultat est ici très surprenant ! Voilà une nouvelle façon de réécouter ces grands titres.  »

Benoît Wideman, pianiste, Paris  : «  Très sympa. Décidément cette guitare basse a vraiment un son incroyable… »

Samba Saravah avec Pierre Barouh

Pierre Barouh nous a quittés le mercredi 28 décembre 2016 à l’âge de 82 ans. Nous avions eu le plaisir de l’accompagner, avec l’Alzy Trio, notre amie la chanteuse franco-brésilienne Sheyla Costa et le pianiste Jean-Pierre Mas, le 7 février 2009, dans une émission de télévision de Jean-François Lebossé.

Saravah, cher Pierre… Ces délicieux instants musicaux passés avec toi resteront dans nos têtes et dans nos cœurs…

De gauche à droite, : Christian Sanchez (guitare), Jean-Pierre Mas (piano), Pascal Kober (basse), Pierre Barouh (chant), Thierry Rampillon (guitare) et Sheyla Costa (chant, percussions).

De gauche à droite, : Christian Sanchez (guitare), Jean-Pierre Mas (piano), Pascal Kober (basse), Pierre Barouh (chant), Thierry Rampillon (guitare) et Sheyla Costa (chant, percussions).

Pierre avait beaucoup contribué au développement de la bossa nova et des musiques brésiliennes dans le monde entier… Et fait (re)découvrir aussi, via son label de disques Saravah (dont l’adage était : « Il y a des années où l’on a envie de ne rien faire ») des artistes aussi différents que Pierre Akendegue, Areski, Georges Arvanitas, Bïa, Brigitte Fontaine, Jacques Higelin, Steve Lacy, Maurane, Daniel Mille, René Urtreger, Maurice Vander, Naná Vasconcelos ou encore Barney Wilen.

Voici l’enregistrement que nous avions réalisé avec lui de sa chanson Samba Saravah. Comme le souligne Pierre à la fin de cet extrait, une première pour tout le monde puisque Sheyla et le trio n’avaient jamais joué avec lui avant ce tournage !

Pour rencontrer ce grand bonhomme qu’est Pierre Barouh, écouter les deux émissions que Philippe Meyer lui a consacrées sur France Inter  : c’est  et . Et lire son livre, Les rivières souterraines, paru en 2011 aux éditions À vos pages.